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Laure-Line Inderbitzin : son combat face à l'extrême droite pour faire respecter les droits humains

  • صورة الكاتب: Clara Nédélec
    Clara Nédélec
  • 2 مارس
  • 1 دقائق قراءة

Callac - mai 2023 © Parlons Droits Humains

La petite ville de Callac (Côtes-d’Armor) devait accueillir des familles de réfugiés. Pendant un an, le maire de la ville et ses élus ont subi des menaces de mort, de viols, d’incendies de la part de l’extrême droite. Le maire a donc décidé d’abandonner ce projet d’accueil.


Pour rappel, la France a ratifié la Convention de 1951 relative au statut des réfugiés et son Protocole de 1967. Cette convention décrit les droits qu’un réfugié est en droit de recevoir par l’État qui l’accueil. Parmi eux on peut trouver :

  • Le droit à la non-discrimination (articles 3 et 5)

  • Le droit à un travail décent (articles 17 à 19 et 24)

  • Le droit au logement, à la terre et à la propriété, y compris la propriété intellectuelle (articles 13, 14 et 21)

  • Le droit à l'éducation (article 22)

  • Le droit à la liberté de religion (article 4)

  • Le droit d'accès à la justice (article 16)


Une Convention que le maire de Callac et ses élus étaient en train d’appliquer.


L’équipe de « Parlons Droits Humains » est allée à la rencontre de Laure-Line Inderbitzin, élue adjointe du maire de Callac. Cinq mois après l’abandon de ce projet d’accueil, Laure-Line continue de recevoir des menaces et du harcèlement à chacune de ses prises de paroles en public, dans lesquelles elle témoigne de l’acharnement qu’elle et ses collègues ont subi pendant de longs mois.


Son témoignage doit être partagé au plus grand nombre.


Interview réalisée par Masab SAOUD et Clara NÉDÉLEC en mai 2023.


 
 
 

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